IDENTITÉ
Saint John Allerdyce
NOM : Allerdyce
PRÉNOM(S) : John (Saint)
SURNOM(S) : Pyro
AGE / DATE DE NAISSANCE : 23 ans
LIEU DE NAISSANCE : Sydney (Australie)
LIEU DE RÉSIDENCE : New York
SEXE : M
STATUT : Confrériste
POUVOIRS : Il peut contrôler et manipuler mentalement le feu. Il lui donne la taille, l’intensité, la direction et la forme qu’il veut. Il n’a cependant pas la capacité de générer le feu, et porte un briquet spécial au poignet en permanence.
PHYSIQUE : minimum de 7 lignes
Pyro est un jeune homme plutôt mince, de taille moyenne, plutôt sûr de son physique, disons qu’il est beau gosse et qu’il le sait. Il essaie de se donner un air plus âgé en entretenant un collier et une moustache liés en un bouc. Sa peau pâle fait ressortir la noirceur de ses yeux, qui s’allument par les reflets du feu lorsqu'il le manipule. Depuis la défaite de la Confrérie, il continue à se vêtir de sombre mais porte des affaires correspondant à son âge, pour passer un minimum inaperçu, comme un jeune tout à fait normal, le temps d’à nouveau revendiquer son appartenance à l’ancien groupe de Magneto. Son look a changé jusqu’à la coiffure, qu’il garde sobre. Ses cheveux mi-longs sont châtains et quelques mèches lui retombent sur le front. Sa démarche reste cependant assurée, peut-être un peu trop, l’arrogance pouvant pointer dans son attitude même, démontrant qu’il n’a pas perdu toute l’énergie déployée grâce et aux côtés de son mentor. Il a en permanence sur lui, attaché à son poignet, un briquet lui permettant d'avoir de la matière à contrôler.
CARACTÈRE : minimum de 10 lignes
Son caractère n’a lui pas changé. Il a conservé toute l’arrogance qui le caractérisait et se refuse à la voir comme un défaut, ce qui pour les autres peut donc paraître comme un double défaut... Si elle peut lui porter préjudice, son assurance lui masque cette menace. Il est sûr de lui, de ses pouvoirs et entend le faire savoir. Si Magneto n’est plus un mutant, cela ne l’empêche pas de garder en lui l’envie de poursuivre la mission qu’ils s’étaient donnée. Mais cette envie n’est plus aussi présente qu’avant, il veut seulement rassembler le plus de mutants partageant les mêmes idées que lui pour se fixer de nouveaux objectifs, soit contre les humains, soit contre les mutants qui se sont intégrés, comme les membres de l’Institut Xavier. En revanche, il reste influençable. Un compliment lui étant adressé peut le faire accorder un peu vite sa confiance à celui qui le lui a fait. Le caresser dans le sens du poil est le meilleur moyen d’obtenir un minimum de lui, même s’il tente de ne pas se faire avoir trop facilement. Il reste fier de sa mutation mais sent que l’absence de celui qui un jour l’a pris sous son aile lui enlève une force qu’il pouvait déployer contre n’importe qui. Pour s'empêcher de déprimer, il se donne corps et âmes à la reconstitution de la Confrérie, qui sera le seul moyen pour lui de retrouver son énergie d'avant.
GOÛTS : minimum de 4 lignes
Pyro aime peu de choses en dehors de lui-même. Il avait découvert presque un père en la personne de celui qui est redevenu Eric Lensherr, simple être humain, et depuis tente de retrouver goût à la vie qu’on lui a laissée. Il garde une mauvaise opinion des êtres humains malgré les avancées qui ont été faites dans les relations entre eux et les mutants. Il entretient également l’envie de retrouver Bobby Drake, celui qui était son ami et est devenu pour lui un rival, même un ennemi, pour se venger du combat perdu sur Alcatraz.
HISTOIRE : (inventée pour le début, puis tirée des films ensuite)
Né à Sydney, en Australie, Saint John Allerdyce a grandi entre un père qui ne l’a jamais vraiment accepté et une mère qui l’étouffait presque. Comme les autres enfants, il a été à l’école, mais il ne faisait que le minimum syndical, juste ce qu’il fallait pour passer dans la classe supérieure. Il a dès la découverte de ses pouvoirs été fasciné par ce qu’il pouvait faire. Il avait alors quinze ans et se rendait compte, contrairement à ce qu’il avait pensé durant toute son enfance, qu’il était quelqu’un de différent, exceptionnel. Surpris un jour par son père, celui-ci a été effrayé et a dès lors refusé de revoir son fils, trouvant une raison de ne plus lui adresser la parole. Sa mère a essayé de comprendre John, mais voir son père n’avoir à son égard plus que de l’indifférence l’a fait énormément souffrir. Dans un accès de colère, il s’empara d’un briquet et mit le feu à un arbre dans sa rue, puis une voiture. Rien n’aurait pu l’empêcher de détruire le quartier si ce n’est sa mère lui criant d’arrêter. Les habitants du quartier l’ont alors menacé et l’ont sommé de quitter la ville, car il représentait un danger. C’est ainsi qu’à seize ans à peine, John s’est retrouvé sans domicile. Il n’a pas dit adieu à son père et a évité de trop prolonger les séparations avec sa mère. Il entretenait depuis longtemps un rêve, une envie qui lui était venue en regardant la télévision, en lisant des magasines : rejoindre les Etats-Unis. Là, il savait qu’il trouverait peut-être des gens comme lui, disposés à l’accueillir ou au moins à l’aider. Gardant toujours avec lui le briquet qui avait appartenu à son arrière-grand-père maternel, il prit, avec le peu d’argent qu’il avait récupéré chez lui et celui qu’il s’était fait en travaillant au noir, un cargo pour Los Angeles. Gardant secrète sa mutation, il avait attendri la cuisinière du navire, une dame d’une cinquantaine d’années qui n’avait jamais eu d’enfants, et répondant au nom de Madeleine. Il fit donc le voyage avec elle, profitant des plats qu’elle préparait, et arriva enfin dans le pays de la Liberté : les Etats-Unis.
Il était temps pour lui de trouver un refuge. Il fit ses adieux à celle qui l’avait surnommé ‘Johnnie’ et ce fut après des recherches dans Los Angeles, au hasard, qu’il rencontra d’autres mutants. L’un d’eux lui parla d’un certain Charles Xavier qu’il avait rencontré et que celui-ci était directeur d’une école pour les mutants non loin de Big Apple. C’était l’endroit idéal pour John. Il le sentait, il le savait. Le jeune mutant, aidé par cette nouvelle connaissance, s’envola pour New York et se présenta au professeur Xavier. Celui-ci accepta et l’intégra à son établissement. Devenu élève de l’institut pour jeunes surdoués, il rencontra Bobby Drake, capable de créer de la glace. L’amitié les lia rapidement mais commença peu à peu à se ternir à l’arrivée de Rogue. De la jalousie ? Pyro s’attira des réprimandes des professeurs à plusieurs reprises, toujours pour la même raison : la frime. Il ne pouvait s’empêcher de montrer ce qu’il savait faire, parfois même devant les êtres humains normaux. En effet, un jour, il manqua, au musée, de tuer un jeune homme en enflammant sa veste. Suite à l’attaque par Stryker de l’institut, il se rendit à Boston avec Logan, Rogue et Bobby chez les parents de ce dernier, qui avait proposé de s’y réfugier en attendant de trouver Jean et Tornade. John découvrit alors une nouvelle facette de sa personnalité : la jalousie. Voir toutes les photos de famille de Bobby avec ses parents et son frère lui rappela que lui n’avait plus de famille. Une nouvelle fois, il ne put s’empêcher de frimer en attaquant les policiers venus les arrêter. Ce fut Rogue qui intervint.
Une nouvelle étape dans sa vie débuta par le tournant décisif que fut la rencontre avec Magneto. Celle-ci se fit dans le jet des X-Men alors que Magneto et Mystique s’étaient joints aux X-Men pour retrouver le professeur Xavier, Cyclope et William Stryker. Pyro se laissa séduire par celui qui deviendrait son mentor lorsque celui-ci lui dit qu’il était « un Dieu parmi les insectes ». Il s’enfuit finalement avec lui et Mystique en hélicoptère après les incidents à Alkali Lake. Devenu le bras droit de Magneto, il apprit beaucoup à son contact et entretint les mêmes sombres desseins à l’égard des humains et des mutants cherchant à les défendre. Il déclencha la guerre en détruisant un poste de distribution du remède fabriqué par Worthington. Son assurance le perdit sur Alcatraz lorsqu’il affronta son ancien ami Iceberg et fut vaincu, victime d’un coup de tête qui l’assomma. Revenu à lui, il a fui, comme les autres, et est allé se réfugier dans les anciens locaux de la Confrérie. Depuis, il essaie de les réhabiliter et de reconstituer la Confrérie.
FAMILLEPère :Nom et prénom : Mark Allerdyce
Âge actuel : 55 ans
Métier : médecin
Statut : humain
Relations avec le personnage : John, fils unique, a reçu le minimum d’amour de la part de son père, ce qui a toujours été reproché à Mark par le garçon et sa mère. La découverte de la mutation de son fils a été un prétexte pour le rejeter. Il n’a jamais désiré avoir d’enfant et pouvoir se débarrasser ainsi de John était l’occasion rêvée.
Histoire : Australien, il a fait ses études de médecine à Sydney. Il a rencontré sa future épouse lors d’une soirée étudiante. A leur mariage, il lui a fait comprendre qu’il ne voulait pas d’enfant pour le moment, ce qu’elle a compris. Il avait alors 27 ans. Des suites d’une soirée très arrosée, sa femme a fini par tomber enceinte. A la naissance de son fils, il lui a toujours donné, sans explication, le minimum. Depuis que John est parti, la vie continue pour lui comme si son fils n’avait jamais existé.
Mère : Nom et prénom : Samantha Allerdyce
Âge actuel : 50 ans
Métier : journaliste
Statut : humain
Relations avec le personnage : Contrairement à son mari, elle fut heureuse le jour où John est venu au monde. Elle l’a chéri jusqu’à l’adolescence. Comme tous les jeunes de son âge, John connaissait quelques conflits avec ses parents. Lorsqu’il a été chassé, Samantha en a beaucoup souffert et essaie depuis de ne plus penser à lui. Divorcée de Mark, elle a refait sa vie pour oublier qu’elle avait eu un fils.
Histoire : Après ses études de journaliste et sa rencontre avec Mark, Samantha s’est consacrée à sa carrière jusqu’à ce qu’elle ne tombe enceinte. Elle s’est consacrée à son fils, travaillant à mi-temps, jusqu’à ce qu’il soit assez grand. Après le départ de John et son divorce, elle a quitté l’Australie pour l’Europe où elle vit depuis.
AVATAR PRIS : Aaron Stanford
PRESENCE SUR LE FORUM : souvent
MULTICOMPTE : oui (Thomas Chambers)
Jeu 17 Mai - 21:05
l'histoire était bien plus courte que ça, j'ai bien rajouté une dizaine de lignes, voire plus... Et puis le caractère et le physique ont connu des extensions également...
